Quand ça va mal… En qui (ou quoi) est-ce que je me confie ?
Quand vous n’allez pas bien, à qui vous adressez-vous en général ?
Faites le portrait du « confident idéal » (traits de caractère, qualités…).
Etude du psaume 31, dans la Bible
(Les versets donnés correspondent à la version Segond)
Au fur et à mesure de l’étude, dressez le « portrait » de Dieu, tel qu’il apparaît dans ce psaume.
Replaçons-nous dans le contexte…
1. Qui a écrit ce psaume ? C’était qui ce gars-là ?
2. Pourriez-vous imaginer dans quelles conditions ce psaume été écrit ?
Comment le psalmiste voit Dieu : v 1 à 9
Faisons un peu de grammaire…
1. V 2 à 5 : Quels noms communs sont associés à Dieu ?
2. V 5 à 9 :
a. A quel temps sont les verbes conduiras, dirigeras, feras, délivreras, serai, livreras, mettras ?
b. Quel est la signification de l’emploi de ce temps ?
3. V 4 : « Et à cause de ton nom tu me conduiras, tu me dirigeras. »
Heu… Pourquoi « à cause de ton nom » ?
4. V5 : « Tu me feras sortir du filet qu’ils m’ont tendu… »
C’est qui, ce « ils » ?
Ça peut correspondre à quelqu’un en particulier pour nous aujourd’hui ?
5. V 8 : « Car tu vois ma misère, tu sais les angoisses de mon âme. »
Donnez un adjectif pour qualifier Dieu d’après cette partie de texte.
CONCLUSION : Le psalmiste voit Dieu comme…
Et pourtant… v 10-14
1. Dans quel état d’esprit se trouve le psalmiste ? Relevez le champ lexical associé. (Oui, je sais, ça fait vraiment question de bac de français, mais je n’ai pas résisté…)
2. Quelles sont les causes de cet état ?
MAIS : v 15-16
Quel est le réflexe du psalmiste dans cette terrible situation ?
La réaction de Dieu : v 20 à 23
1. V 20 : « Oh ! Combien est grande ta bonté, que tu tiens en réserve pour ceux qui te craignent, que tu témoignes à ceux qui cherchent en toi leur refuge, à la vue des fils de l’homme ! »
Dieu fait des réserves… de quoi ? Pour qui ?
2. V 21 à 23 : Quand on se confie en Dieu, qu’est-ce qu’il fait ?
CONCLUSION : Quand on demande de l’aide à Dieu, il…
Maintenant que vous avez brossé un beau portrait de Dieu, comparez-le avec celui du « confident idéal » établi au départ. Vous en pensez quoi ?